LE MATIN : L'Instance s'est-elle déjà inscrite dans l'esprit du changement en attendant la révision de son statut ?
ABDESSELAM ABOUDRAR: Bien sûr. Avant même le changement, nous étions dans cet état d'esprit. D'emblée, malgré les limites de notre cadre juridique et de nos moyens, nous avons pris au sérieux notre mission et nous avons fait preuve de transparence dans nos déclarations et rapports. Peu après le 20 février, nous avons tenu notre assemblée plénière. Nous avons inscrit le débat dans l'esprit du temps afin de répondre aux revendications largement partagées par l'opinion publique et les jeunes.
ABDESSELAM ABOUDRAR: Bien sûr. Avant même le changement, nous étions dans cet état d'esprit. D'emblée, malgré les limites de notre cadre juridique et de nos moyens, nous avons pris au sérieux notre mission et nous avons fait preuve de transparence dans nos déclarations et rapports. Peu après le 20 février, nous avons tenu notre assemblée plénière. Nous avons inscrit le débat dans l'esprit du temps afin de répondre aux revendications largement partagées par l'opinion publique et les jeunes.