24/02/2013

Les illusions de la préférence nationale

« La montagne a accouché d’une souris».  C’est ainsi que résume Lamia Tazi, directrice générale de Sothema, tout ce tapage médiatique autour de la préférence nationale. Pour elle comme pour plusieurs  autres opérateurs économiques, le nouveau décret  n’apporte pas de grandes révolutions en la matière.

21/02/2013

AZIZ RABBAH : « La préférence nationale est un choix stratégique »

Challenge. Qu’est-ce qui a motivé votre décision  d’appliquer la préférence nationale?
Aziz Rabbah. Depuis le début de mon mandat, au département de l’Equipement et du Transport nous avons prospecté tous les  moyens à même de renforcer la compétitivité des entreprises BTP, l’émergence de champions nationaux dans  le secteur et le développement d’un tissu de moyennes et de petites entreprises structurées.

18/02/2013

Industrie Le parent pauvre de la préférence nationale

Lamia Tazi, DG de Sothema affiche clairement sa déception face à la mise à l’écart des requêtes initiées par les industriels, les associations professionnelles comme la CGEM et l’Amip, et les institutions telles que le Conseil Economique et Social, en matière de préférence nationale.

16/02/2013

Lancement du système d’achats publics en ligne

Le système d’achats publics en ligne(Tunisian e-procurement system)(TUNEPS), a été lancé, mardi, à Tunis, dans le cadre d’un projet de coopération tuniso-sudcoréenne, a constaté un journaliste de TAP.

Marchés de la banque mondiale : Signalement des cas de fraude ou de corruption

Quelles situations méritent d’être signalées ?
Les enquêtes de l’INT sont essentiellement motivées par les allégations présentées ; il est donc extrêmement important que les personnes participant à des activités appuyées par des fonds du Groupe de la Banque prennent l’initiative de faire part de leurs soupçons de fraude ou de corruption.

04/02/2013

Marchés publics: Une étude sur les délais de paiement


Malgré la loi, les délais de paiement demeurent un casse-tête pour les chefs d’entreprises. L’association Amal Entreprises, organisation patronale réputée proche du PJD, est en train de mener une étude sur le recouvrement des créances. Celle-ci vise les retards de paiement en rapport avec les marchés publics. «Nous faisons un listing des cas, les raisons à l’origine du retard et nous proposerons des solutions», déclare Taïeb Aisse, président de l’association Amal Entreprises.

02/02/2013

Communiqué du Conseil National de Transparency Maroc

Le Conseil National de Transparency Maroc, réuni à Casablanca  le 19 janvier 2013, après avoir  passé en revue les principaux faits marquants des dernières semaines,  a analysé les informations rendues publiques, tant sur le processus d’élaboration de la loi sur l’Accès à l’Information  que celles sur l’approbation du décret de passation des marchés publics.

23/01/2013

publication du rapport 2011 de la Cour des comptes


Conformément aux dispositions du cinquième alinéa de l’article 148 de la Constitution et en application de l’article 100 de la loi n°62-99 formant code des juridictions financières,  la Cour des comptes publie son rapport d'activités relatif à l’année 2011.

22/01/2013

Les exclus des marchés publics?


Ce sont les entreprises internationales  qui profitent le plus des marchés IT de l’Etat , suivies des filiales de multinationales installées au Maroc. Les structures marocaines, quant à elles, ne captent qu’une petite partie qui se limite souvent à des  missions à faible valeur ajoutée sous-traitées par les grands adjudicataires.

21/01/2013

Marchés publics: une amélioration timide des procédures


Le nouveau décret régissant les marchés publics entrera en vigueur en juillet 2013. Une grande partie de ce texte n’a pas été élaborée par le gouvernement actuel et le PJD aurait dû revoir cette copie à la lumière de la nouvelle constitution qui met en avant la bonne gouvernance et la participation de la société civile.

10/01/2013

Louafa publie sa «liste noire»


Le plan d’urgence de l’Education 2009-2012 continue de faire couler beaucoup d’encre. Un programme qui a englouti près de 30 milliards de DH avec les résultats que tout le monde connaît. Une manne dans laquelle plusieurs se seraient servis. Mohamed Louafa, ministre de l’Education nationale, vient d’ailleurs de publier la liste des entreprises black-listées, qui ont décroché des marchés publics auprès de son département du temps d’Ahmed Akchichine et qui n’ont pas honoré leurs engagements.